Note
Le mardi 17 mai à 11h, les président et vice-président nationaux du SESG, Stan Stapleton et David Neufeld, ont offert une présentation sur la Colline du Parlement au Comité permanent de la sécurité publique et nationale. Vous pouvez écouter la présentation de Stan et David en suivant le lien suivant et en cliquant sur « Mardi 17 mai 2016, Réunion 17» et encore sur « Écouter sur ParlVU » : http://www.parl.gc.ca/Committees/fr/SECU/StudyActi...
Summary
Les agents de la sécurité publique sont à risques de souffrir d’un trouble de stress post‑traumatique (TSPT) et de blessures de stress opérationnel (BSO) à la suite d’événements traumatiques vécus dans l’exercice de leurs fonctions[1]. Tout le monde s’entend pour dire que le bien-être des personnes qui aident à protéger la sécurité des Canadiens est d’une importance capitale. Le Comité permanent de la sécurité publique et nationale de la Chambre des communes (le « Comité »), a décidé d’étudier cette question, d’inviter des témoins, de synthétiser l’information et de présenter des recommandations au gouvernement fédéral qui s’apprête à concevoir un cadre pour s’attaquer aux blessures de stress opérationnel dont souffrent les agents de la sécurité publique.Les principales recommandations du Comité reposent sur trois assises permettant de recueillir des données exactes et de les diffuser à l’échelle nationale de sorte que les agents de la sécurité publique reçoivent de l’aide, quel que soit le lieu où ils vivent ou travaillent. Le Comité demande la création d’un Institut canadien de recherche sur la santé des agents de la sécurité publique et la tenue d’une enquête sur la prévalence des troubles de santé mentale. De plus, il propose de créer un groupe de travail d’experts chargé d’élaborer une stratégie nationale sur les blessures de stress opérationnel comprenant des politiques sur la prévention, le dépistage, la sensibilisation, l’intervention et le traitement.